L’artiste privilégie ici le format horizontal, dit « à l’italienne » ou paysage. Le casino émerge de la perspective. Léo Maxy utilise la géographie même du site pour donner de la profondeur à son illustration, avec une ville inscrite dans une baie en arc de cercle. Le mouvement qui se dégage de la composition est omniprésent avec les drapeaux qui volettent au vent, la mer, traitée avec réalisme et pour finir, les nuages. Les tons ocre donnent un aspect chaleureux à la ville. Cette lumière est utilisée par les affichistes comme Jules Chéret, influencé par William Turner lors de ses séjours à Londres. Elle est encore présente dans le cartouche enserrant les rochers de Vallières au soleil couchant, avec une typographie minimale.